Le kimchi : le plat lacto-fermenté coréen facile à faire et délicieux !

Les amateurs de cuisine asiatique connaissent déjà sûrement le Kimchi, le plat emblématique de la Corée.

Pour les autres et bien c’est le temps de le connaître !

Il s’agit en fait d’une préparation de chou lacto-fermentée dans de la saumure, et généralement pimentée.

Il existe de nombreux types de Kimchi, mais sa version la plus célèbre est le Kimchi au chou chinois. Ci-dessous, voici les ingrédients de base pour fabriquer le kimchi :

 

 

Ingrédients

• 250 ml d’eau
• 125 ml de vinaigre bio
• 250 g de légumes bio
• 1 oignon
• ½ poivron rouge
• 2 bouquets d’aneth
• ½ c. à c. de graines de moutarde
• ½ c. à c. de graines de coriandre
• 1 c. à c. de cumin en poudre
• 1 c. à c. de curcuma
• 1½ c. à s. de sucre (de canne)
• 1½ c. à s. de sel

Comment faire son propre kimchi

1. Choisissez un légume ou combinez différents légumes tels que chou chinois, chou-fleur, courgette, concombre, poivron, radis et carotte.
2. Stérilisez les bocaux en verre et lavez-vous soigneusement les mains pour éviter toute contamination par des micro-organismes. Lavez les légumes et coupez-les finement, en lanières ou en tranches.
3. Disposez les légumes et les bouquets d’aneth dans les bocaux en verre.
4. Faites chauffer l’eau avec le sucre, le sel et les autres épices, et laissez le tout bouillir quelques minutes. Versez ensuite l’eau dans les bocaux en verre. Laissez refroidir puis visez le couvercle.
5. Conservez votre propre kimchi au réfrigérateur. Astuce : vous pouvez manger votre kimchi assez rapidement, mais il sera plus savoureux si vous le laissez reposer un peu plus longtemps.

Et voici (ci-dessous), à quoi cela ressemble quand c’est prêt à être consommé !

 

 

Les avantages de la (lacto) fermentation sont nombreux

 

1- Pas de gâchis, vous pouvez utiliser vos restes de légumes et votre surproduction maraîchère (si vous avez la chance d’avoir votre propre potager) pour faire vos stocks pour l’hiver.

2- Si vous respectez les règles d’hygiène (stérilisation préalable des bocaux, nettoyage des mains, etc.), la conservation est durable et sécuritaire.

3- Le processus de lactofermentation va engendrer naturellement des probiotiques favorables à votre microbiote intestinal !

4- C’est délicieux !

Pas convaincus ? Essayez donc par vous-même et dîtes-nous, dans les commentaires, si vous l’appréciez (ou non) et comment vous l’accompagnez.