Devenir naturopathe – une passion qui se partage.
Si l’on en juge par l’intérêt de plus en plus marqué que porte le public aux médecines dites douces, il semble évident que la médecine conventionnelle ne réponde plus aux besoins et aux attentes de la population. Force est de constater que l’individu paie aujourd’hui le lourd tribut d’une vie trépidante basée sur la consommation, le stress, les pollutions, l’intoxication et les poisons. Dans un contexte perçu comme toujours plus oppressant, ponctué de scandales sanitaires, on constate qu’un besoin d’écoute et d’attention se fait jour. Aussi, on constate un besoin de s’informer et d’étudier pour satisfaire une attente personnelle ou concrétiser une vocation de thérapeute / naturopathe.
Étudier la naturopathie en ligne et répondre aux maux de notre temps
Les maladies chroniques, dites de civilisation, sont des maladies où l’on ne meurt plus de façon foudroyante, mais lentement et plus insidieusement. Cette petite mort passe relativement inaperçue car les symptômes ou malaises ne sont pas assez significatifs ou jugés désormais trop ordinaires pour être suffisamment pris en compte par le monde médical. On prescrit néanmoins des médicaments, qui réussissent à faire taire, dans un premier temps, les symptômes « fonctionnels ». Mais faute de s’attaquer aux causes profondes, les déséquilibres persistent et finissent par générer des maladies organiques bien répertoriées.
Progressivement la population devient consciente, exige une approche plus attentive et se tourne vers les médecines douces et les praticiens de la santé. En effet, les gens veulent :
- comprendre ce qui leur arrive (pour cela, il faut étudier la naturopathie),
- participer au traitement et
- se sentir pleinement acteurs de la solution thérapeutique – non pas de simples « consommateurs de pilules ».
Qu’il s’agisse de la France, du Québec ou d’ailleurs, les pratiques naturelles ne sont plus marginales. Elles s’affirment comme une alternative essentielle, complémentaire des approches conventionnelles.
Pour mieux comprendre comment le CMDQ enseigne la naturopathie à distance, voir notre page sur Pourquoi prendre des cours en ligne de naturopathie?
Le besoin de formations de qualité
Mais, dans l’attente d’une réelle reconnaissance des médecines douces, le public exige néanmoins un service professionnel sans faille. De cette façon, ils pourront être sérieusement guidés et y voir clair dans cette prolifération d’informations. Il en va de même pour les écoles, comme notre école de naturopathie par correspondance.
Au Collège des Médecines Douces du Québec, la grande majorité de nos demandes d’admission provient de:
- personnes qui ont déjà expérimenté une ou plusieurs thérapies alternatives avec satisfaction,
- celles qui veulent étudier pour en savoir plus, pour se perfectionner, d’abord pour elles-mêmes et leur famille, et pour débuter une nouvelle profession;
- d’autres ont une passion, un besoin de donner, de soigner les autres et d’être utile dans leur communauté.
- Il y a aussi beaucoup d’étudiants de filières médicales ou paramédicales qui veulent développer une autre approche.
Toutes ces personnes ont un point en commun: elles cherchent une formation de qualité. Vous pouvez le constatez dans les témoignages, d’une part, et d’autre part sur la page des reconnaissances où des associations diverses à travers le monde reconnaissent nos formations à distance.
L’engagement du CMDQ
Tout comme le public s’avère méfiant face à la médecine conventionnelle, les futurs praticiens de la santé se méfient des écoles. Ils ont conscience qu’une bonne école doit s’ouvrir au monde et non pas rester attachée à un maître en quête de notoriété ou de pouvoir. Nos élèves qui étudient la naturopathie doivent acquérir des connaissances dans plusieurs domaines, mais aussi nourrir le plaisir d’apprendre tout au long des études et même de leur vie entière.
En conclusion, voici l’engagement que propose le directeur du Collège des Médecines Douces:
« Nous avons un devoir moral envers nos élèves. En effet, ils représentent les futurs praticiens sur lesquels reposent la crédibilité et la réussite des médecines douces. C’est finalement sur eux que reposera la santé de nos concitoyens. » David Bentata, directeur du CMDQ